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jeudi 26 février 2009

chose promise chose due

Résumé du père Goriot









A paris durant l’automne 1819, dans la pension sise rue sainte Geneviève, dînent des gens du quartier et les pensionnaires de madame Vauquer. On peut y trouver : Mademoiselle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Vautrin, (le plus énigmatique de tous), Brianchon l’étudiant en médecine, Eugène de Rastignac, fils d’une famille charentaise noble mais désargentée, venu faire son droit à Paris, et Jean Joachim Goriot pitoyable rentier de 69 ans qui mène une étrange vie nocturne. C’est le plus âgé de la pension Vauquer. Il y est arrivé 6 ans plus tôt en se retirant des affaires. Au début ses rentes lui suffisaient pour occuper le plus bel appartement de la pension. Puis, mystérieusement ses rentes diminuant le vieil homme a occupé successivement tous les étages de la pension pour arriver au logement le plus modeste. Les autres pensionnaires supposent qu’il se ruine en entretenant des femmes légères.

Quant à Eugène de Rastignac, il rêve de faire partie de la haute société parisienne et, grâce à une invitation de sa tante il peut se rendre à un bal organisé par Madame de Beauséant. Là, il remarque une jeune fille prénommée Anastasie, ébloui par sa beauté il s’en amourache. Le lendemain il essaie de la revoir mais se fait éconduire par la belle et son mari Monsieur de Restaud. Plus tard, il se rend chez Madame de Beauséant qui lui raconte le passé du père Goriot.

Cet ancien négociant a fait fortune durant la révolution et a consacré tout son argent à ses filles : Anastasie l’aînée et Delphine la cadette. Après le paiement de leur éducation et de leur dot, il a marié Anastasie au comte de Restaud et Delphine au comte Nucingen .Tant que le père Goriot avait de l’argent il était respecté. Mais maintenant qu’il n’en a plus ses filles ne prêtent plus attention à lui. Et, il en est fort attristé.

Madame de Beauséant par ce récit en arrive à la conclusion que Rastignac, s’il veut accéder à la haute société doit se faire entretenir par une femme et lui suggère le nom de Delphine de Nucingen.

De retour à la pension, Rastignac, ému par le récit de Madame de Beauséant, décide de soutenir le père Goriot. Mais lui aussi étant désargenté et ayant besoin d’argent pour faire son entrée dans le beau monde, il décide de demander à sa mère et à sa sœur leurs dernières économies.

Vautrin, qui, pendant ce temps a découvert l’attrait qu’a l’argent sur Rastignac, lui propose un marché diabolique. Eugène devra séduire Victorine Taillefer richement dotée, tandis que lui, Vautrin assassinera le frère de Victorine. Rastignac refuse. Il préfère suivre les conseils de Madame de Beauséant et accompagne cette dernière au théâtre où il se fait présenter Delphine.

A la pension, Rastignac relate au père Goriot sa rencontre avec Delphine par le détail. Le père Goriot ému encourage Eugène à fréquenter sa fille. Rastignac devient alors l’amant de Delphine et découvre alors sa détresse financière. Le baron de Nucingen lui a pris sa fortune ne lui laissant rien pour vivre. Elle demande donc à Rastignac de jouer et lui confie 100 francs, il joue et en gagne 7.000. Delphine dit à Rastignac qu’il l’a sauvée et lui confie ses déboires matrimoniaux ainsi que ses remords envers son père.

De retour à la pension Rastignac relate au père Goriot la détresse de sa fille et celui-ci attaque son gendre en justice afin qu’il restitue la dot dérobée.

L’identité du mystérieux Vautrin est découverte par M. Poirier et Mlle Michonneau il est en réalité Jacques Colin dit trompe-la-mort un dangereux forçat évadé du bagne de toulon.

A la pension Vauquer, Victorine dévoile ses sentiments à eugène. Mlle Michonneau acquiert la certitude que Vautrin est bien trompe-la-mort et le fait arrêter tandis qu ‘ un complice assassine le frère de Victorine. La pension est en émoi. Le père Goriot invite Rastignac à dîner avec Delphine dans l’appartement qu’il vient de lui louer avec ses dernières économies

Tandis que la pension se dépeuple, les filles Goriot se ruinent. Delphine ne récupèrera pas sa dot le baron refuse. Et Anastasie qui ne peut plus payer les dettes de son amant se voit contrainte de vendre les diamants de famille. A l’annonce de leur faillite le père Goriot fait une crise d’apoplexie.

Rastignac passe la soirée au théâtre avec Delphine et lui annonce le triste sort de son père elle et sa sœur se montreront indifférente à la maladie de leur père.






Que les enfants sont ingrats !!



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